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Il faut des hommes de qualité pour les zones économiques spéciales

Le coordonnateur des centres d’éducation de formation et d’apprentissage au ministère de l’Enseignement technique et professionnel, de la formation qualifiante et de l’emploi, François Sita a souligné le 19 avril à Brazzaville que les meilleurs moyens pour développer les Zones économiques spéciales (ZES) étaient un capital humain bien formé par le système éducatif national. 

« Il faut  élaborer de nouvelles stratégies dans la formation pour que le système éducatif congolais réponde aux attentes de la  création des zones économiques spéciales. Il est donc nécessaire de mettre en place des dispositifs de formation pour avoir une main d’œuvre suffisante et qualifiée afin de rendre opérationnelle ces ZES », a indiqué François Sita lors de la conférence publique organisé par la fondation Perspectives d’avenir.

Il a ajouté que les études avaient été menées par les enquêteurs  afin d’identifier les besoins d’équipement  exprimés par les différents centres d’éducation de formation et d’apprentissage (CEFA) dans les départements du pays.

Les zones économiques spéciales implantées dans certains départements du pays, une fois opérationnelles, donneront des opportunités d’emplois aux jeunes.

La conférence publique qui s’est tenu sous le thème « la mise en place et développement des zones économiques spéciales au Congo : Défi du capital du capital humain », a fait appel à la fois à une évaluation de la situation actuelles et à une analyse prospective, en vue d’identifier les besoins, les opportunités à saisir afin de surmonter durablement les vulnérabilités du système en vigueur et donner la chance au projet de mise en place des  ZES d’aller jusqu’au bout.